Pendant les périodes hivernales où les températures chutent considérablement, les sensations de froid sont décuplées et votre doux foyer peut très vite se transformer en un réfrigérateur géant. Il va sans dire, c’est tout bonnement impossible de vivre confortablement dans une ambiance aussi glaciale. Ainsi, la quasi-majorité des occupants optent pour l’acquisition de différents systèmes de chauffages. En termes de dépense énergétique, ces dispositifs consomment énormément et la facture d’électricité risque d’être dure à encaisser. Dans le but de réduire ces frais, la solution qui s’offre à ces particuliers réside dans la conversion vers l’énergie verte : une source énergétique naturelle et renouvelable à souhait. Dans cette prochaine rubrique, plusieurs directives et explications vous seront prodiguées afin que vous puissiez choisir le modèle de panneau solaire le plus adapté.
Quel type de panneau solaire faut-il choisir ?
Sur le marché, trois typologies de panneau peuvent être distinguées : amorphes, monocristallins et polycristallins. Dépendamment du niveau d’ensoleillement de votre zone de résidence, chaque modèle de panneau diffère par rapport à l’usage et d’autres critères liés au budget des acquisiteurs. Dans la mesure où le climat dans lequel votre habitat évolue pourvoit peu de luminosité, il faudra envisager d’installer le modèle monocristallin. Dans le cas contraire, si la météo est de nature généreuse et vous accorde une abondance de rayonnement solaire, les panneaux dîtes polycristallins sont à privilégier. Par contre, dans une autre perspective où votre situation financière ne vous permet pas d’investir dans ces mécanismes, les dispositifs anamorphes sont conseillés. Ils sont très abordables et peu onéreux.
Quelle puissance pour votre panneau solaire ?
À partir des plaques signalétiques, vous pouvoir avoir un indice sur la puissance de sortie de vos capteurs. En temps normal et avec des conditions climatiques favorables, vous pouvez obtenir la quantité d’électricité produite en courant continu. Dans la majorité des cas, selon une étude statistique récente, la production en énergie électrique avoisine l’intervalle 200 et 400 watts. Ces chiffres varient selon les mensurations et la qualité intrinsèque des panneaux photovoltaïques. Ce sont des données standard qui évoluent en fonction de l’exposition au soleil, de l’angle de la toiture, de la couverture végétale et la température ambiante.
Quel onduleur pour mon panneau solaire ?
En terme technique, ces composants vont servir d’intermédiaire entre le soleil et votre type d’alimentation. En effet, il effectue la conversion de ces rayonnements solaires en électricité ou transfert ces mêmes rayons vers un fluide caloporteur. Votre habitation s’alimente grâce à des courants soit alternatif soit continu. Entre autres, deux types d’onduleurs existent sur le marché. La première est l’onduleur direct. Quand il s’agit de coût, il constitue une très bonne affaire. Relativement abordable, il offre une production optimale qui transforme l’énergie DC en énergie AC. Quant au second, les onduleurs à micro-inverseur de courant alternatif et d’optimisation de puissance sont un peu plus coûteux. Avec cette technologie, l’énergie est mieux conditionnée pour rendre la transformation des rayons solaires plus aisés.